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The last time I did a triathlon in June, it was an unusually
warm 33C. This time, it was an exceptionally sweltering 38C. And I'm not good in
the heat.
Still, the Breisgau Triathlon in the Baden-Wurttemberg region of Germany (45 minutes from
Strasbourg) was a gorgeous place to lose one's body weight in sweat, set among vineyards and
wee villages at the foot of the Black Forest mountains.
Unsurprisingly, the swim was once again wetsuit-free. Wetsuits would actually have been allowed in France, but German rules outlaw them if the water is above 22.9C. This at least meant I didn't lose mega minutes fiddling with zips and pulling off tight rubber in the transition zone. As usual, the swim began with plenty of elbowing and whacking, but I came out of the lake roughly in the top third of the field, a good effort for me.
The cycling course was magnificent, winding past terraced vineyards and into the first slopes of the Black Forest on closed roads (a rare luxury in triathlon). My performance, however, was a little disappointing given that I'd actually bothered training on the bike for once. Despite encouraging recent rides in the rolling hills north of Strasbourg, I found myself getting regularly overtaken. Most of all, I completely misjudged the course, saving myself for when the climb really kicked in, only to arrive at the top without having accelerated. Plus, an unexpectedly technical descent had me braking way too much in the corners.
The second transition was proof, if ever any were needed, that the Germans are indeed super organised. On crossing the transition line, volunteers took my bike from me and immediately handed over the bag with my running stuff. Just like in an Ironman triathlon.
The run was always going to be a challenge in this heat — especially in the middle of the day. So radical were the
conditions, I'd even conceded to run in a hat. Brilliantly, the feeding
stations included soaked sponges, which I stuck inside my top for later use, à
la Hawaii Ironman (check out this flattering photo of Chris McCormack).
Locals put hoses and sprinklers at the edge of their gardens to soak us as we
passed, all of which helped me run the hilly 7.5 kms in 32 minutes, despite a
stitch.
Beer was offered up as I crossed the line, but somehow it didn't seem the best way to rehydrate after almost 2 hours of effort on the hottest day of the year.
La dernière fois
j'ai fait un triathlon, il faisait très chaud (33C). Cette-fois-ci, la chaleur
était accablante avec 38C au thermomètre. Et je ne marche pas bien dans la chaleur.
Le Triathlon Breisgau dans la région de Bade-Wurtemberg en Allemagne (à 45 minutes de
Strasbourg) était néanmoins un beau endroit pour éliminer son poids en sueur, vu
sa situation parmi les vignes en bas des montagnes de la Forêt Noire.
Sans surprise, on n'avait pas droit à la combinaison pour la natation (en France, la combi aurait été permise, mais en Allemagne c'est interdit si l'eau est au-dessus de 22,9C). Au moins, je n'avais pas à me battre contre les fermetures et le néoprène trop serré en transition. Comme d'hab, il y a eu un bon nombre de coups de coude et de baffes en début de natation, mais je suis quand même sorti du lac dans le premier tiers, un bon effort pour moi.
Le parcours vélo était magnifique, serpentant
le long des vignes et montant les premières pentes de la Forêt Noire sur des
routes fermées à la circulation (un luxe rare dans le triathlon). Ma
performance, par contre, était un peu décevante, vu que j'avais fait l'effort de m'entraîner un peu à vélo. Malgré
plusieurs
bonnes sorties dans les collines au nord de Strasbourg, je me suis fait
régulièrement doubler. De plus, j'ai mal jugé le parcours, réservant
mon effort
pour les pourcentages le plus forts... avant de me rendre compte que les
avais
déjà faits ! Une décente technique m'a également obligé à freiner un peu
trop violemment
à plusieurs reprises.
La deuxième transition a offert la preuve (si besoin il y en avait) que les Allemands sont super bien organisés. Après avoir franchi la ligne de transition, les bénévoles m'ont pris le vélo et, de suite, m'ont passé le sac avec mes affaires de course. Juste comme dans une course Ironman. La classe, quoi.
La course à pied
allait toujours être un défi par cette chaleur — surtout
en plein milieu de journée. Vu ces conditions, j'avais même consenti de porter
une casquette.
Aux ravitaillements, on avait droit à des éponges trempées d'eau,
que je n'ai pas hésité à mettre sous mon maillot pour utiliser ultérieurement,
à la Ironman Hawaii (voir cette photo très flatteuse de Chris McCormack). Les
locaux avait mis les arroseurs à la limite de leurs jardins pour nous soulager,
ce qui m'a aidé à finir les 7,5km en 32 minutes, malgré un point de côté.
A l'arrivée, il y
avait de la bière à volonté pour les participants, même si c'était
pas forcément la meilleure façon de se réhydrater après presque 2 heures d'effort pendant la plus chaude journée de l'année.
A broom bike for the last triathlete on the road! Un vélo-balai pour le dernier triathlète ! |