Wednesday, August 22, 2012

London 2012


ENGLISH

After a week of being glued to the Olympics on telly, we were lucky enough to head to London for the real deal in the second week. 

"Trick" 3D photography convincingly
unites me with Victoria Pendleton...

First off, beach volleyball on the grounds of Horse Guard Parade (where the Royal horses usually strut their stuff) right in the city centre. It made for a spectacular setting for ogling watching the world's most skimpily-dressed Olympians, even if the majority of the crowd was more interested in doing the Mexican wave and getting the beers in. By the end of the tournament, beach volley spectators were apparently doing the conga in the aisles. Really.


At the athletics, the atmosphere was just as festive but all about the sport. Strangely, the whole spectacle seems much more low-key in the stadium: it was almost difficult to believe we were watching actual Olympic finals, broadcast to millions, if not billions, around the world. 


Whenever a Brit was racing, the noise level rattled up a few decibels, but the best moment was the spontaneous applause that erupted when 34-year old 400m hurdle winner Félix Sànchez burst into tears during his medal presentation. Very moving.


We also saw the men's volleyball quarter-finals (how do they get to some of those shots?) and the men's triathlon, where huge crowds flocked to Hyde Park to see the Brownlee brothers take gold and bronze for Team GB. Despite the tens of thousands, we secured a good spot for the run even if we saw little more than some far-off splashing during the swim.

Bit tricky to see much of the triathlon swim, then

A memorable stay, then. And the whole Games was superbly organised with ultra cheerful volunteers pointing the way to public transport and shouting out amusing advice through megaphones. London 2012 seemed to bring the best out of the country, both on and off the sports field. 


FRANCAIS

Après avoir passé la première semaine des Jeux Olympiques collés devant la télé, nous avons eu la chance de partir à Londres pour voir le plus grand événement sportif du monde en vrai pendant la deuxième semaine.


D'abord du beach volley en plein centre ville : Horse Guard Parade, c'est là ou les chevaux royaux se promènent dans la capitale britannique, donc un endroit de standing pour un sport... peu connu. L'ambiance était, pour le moins, festive avec une foule plus concentrée sur les ola et la consommation de bière que le spectacle fourni par les athlètes les moins habillées des Jeux. Il semble que plusieurs séances de beach volley ont même fini avec les spectateurs faisant la chenille. Ça, c'est du sport.

Les pom-pom girls... version beach volley

Dans le stade olympique - au sein de l'énorme parc olympique à l'est de Londres - l'ambiance était tout aussi festive, mais cette-fois ci, c'était le sport qui comptait. 


Drôle d'impression d'être spectateur du plus grand événement sportif du monde, car tout semble plus près et à échelle humaine. Mais on a bien plus l'impression de vitesse des athlètes et de la technique démandée dans les épreuves de lancer et de saut. A chaque fois qu'un athlète britannique a fait quoi que ce soit, le bruit a augmenté d'un cran, mais le point fort de la soirée était sans doute l'applaudissement spontané qui a suivi les larmes de Félix Sànchez, vainqueur du 400m haies, pendant la présentation de sa médaille.

 
Nous avons également vu les quarts de finale de volley chez les hommes (impressionnant) et le triathlon hommes dans Hyde Park, où une foule énorme criait bruyamment leur support pour les frères Brownlee, médaillés or et bronze pour l'équipe britannique. 


Des bons souvenirs des Jeux super bien organisés dans une bonne ambiance, et surtout avec des bénévoles chaleureux et accueillants. On dirait que ces Jeux de Londres ont fait rayonner la Grande-Bretagne sur le terrain sportif et bien au-delà.

Even Trafalgar Square's Nelson
entered the Olympic spirit

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