When choosing my first Canadian triathlon, I’d carefully studied the intricacies of the local racing scene... before realizing we only had one free weekend all summer. This coincided with the triathlon at Drummondville (1h30 from Montreal). OK, the route wasn’t particularly interesting (several loops of pan flat roads), but the event was extremely well-organized, and even featured a separate race for elite triathletes.
This was also my first time swimming without a wetsuit – although not through any choice of my own. It turns out that wetsuits are not allowed in Canada if the water is above 22C (compared with 26C in Europe). Given that the season doesn’t start till June, when lakes and rivers are already too warm, there’s not much call for wetsuits over here. As I’m far from a specialist swimmer, this was not great news: without the comfort of neoprene, I’d have to try and float all on my own!
As usual, the first few minutes of the swim were more like a full-on wrestling battle, with elbows, feet and arms regularly landing in my face as everyone jostled for position. To boot, the St-François river was so darn dirty that I couldn’t even see my fellow competitors underwater. After the race, I was delighted to learn that the source of this dirt was a sewage evacuation site just upstream from the race… In other words, we were swimming in crap!
On to the cycling, which was always going to be a bit of a struggle. Firstly, the route was flat as a pancake (and therefore not at all suited to my abilities); secondly, I was riding a cyclocross bike (not at all adapted to triathlon); and, thirdly, as I’d only managed to get hold of a bike a week beforehand, my annual mileage for 2010 was a grand total of 34km.
Still, the road was completely closed to traffic, which made for a pleasant change from most races I’ve ridden in Europe.
My poor show on the bike at least had one advantage: it meant there were lots of people to overtake on the run! I rather enjoyed (in a suffering kind of way) the 5km trot, completed in 19’48” for an overall time of 1h15. A grand day out, all in all.
The cracking photos were all taken by Julie :-).
FRANCAIS
Pour mon premier triathlon canadien, j’avais choisi Drummondville (à 1h30 de Montréal) parce que… c’était notre seul weekend de libre ! Même si le parcours n’était pas très intéressant (du plat et plusieurs tours à effectuer), la course était très bien organisée, et il y avait même la présence de plusieurs triathlètes élite.
C’était également ma première expérience de natation en eau libre sans combinaison... Il s’avère que, au Canada, les combinaisons sont une denrée rare – car interdites si la température de l’eau est au-dessus de 22C (par rapport à 26C en Europe). Et la saison ne commence qu’au mois de juin – quand les lacs et rivières sont déjà bien trop chauds. Bref, comme non-spécialiste de la natation, l’interdiction de la combinaison néoprène n’allait pas m’avantager. J'allais devoir faire l’effort de flotter tout seul !
Le départ était comme tout départ de triathlon : plein de coups, baffes et claques pendant que tout le monde se faisait de la place pour nager correctement. Et l’eau de la rivière St-François était franchement dégueulasse – je ne voyais même pas les pieds du concurrent devant… C’est seulement après que nous avons appris que cette saleté était due à une évacuation d’égouts située pas loin du site de la course… En gros, on nageait dans du caca.
Le vélo allait toujours être la partie la plus difficile pour moi. En partie parce que le parcours était tout plat (donc pas taillé pour moi), puis parce que j’avais un vélo cyclocross (pas du tout adapté au triathlon) et puis, m'étant procuré le vélo seulement une semaine auparavant, je n’avais fait que 34km d’entraînement depuis le début de l’année ! Le parcours était fermé à la circulation : chose rare dans un triathlon en France, et donc fortement appréciée.
Ma faiblesse à vélo avait au moins un avantage : il y avait du monde à doubler en course à pied ! Je me suis donc fait plaisir (et pas mal violence !) à boucler les 5km en 19’48 pour finir la course en 1h15. Un vrai plaisir de retrouver des sensations d’une course multisports.
Les jolies photos sont l’œuvre de Julie :-).
Sounds like you had a gruelingly good time! : j
ReplyDeleteCongrats!
T'as pas mis la trifonction de l'U Ivry dans tes bagages ??
ReplyDeleteAu fait, vu d'aujourd'hui :
GP de Quebec - Voeckler avec panache
AFP - ven, 10 sept 22:48:00 2010
A+, Stéphane