Thursday, September 16, 2010

Interviewing childhood heroes / Interview avec mes héros


ENGLISH

I’ve been a passionate follower of professional cycling ever since Channel 4 first broadcast the Tour de France to Britain back in the mid-80s. So, when I managed to get press accreditation for the new pro cycling races in Montreal and Quebec, it was like a childhood dream come true!

With a full media pass, I had complete behind-the-scenes access to races, riders, and Ryder (Hesjedal – Canada’s top cyclist). I was one of those guys on the other side of the barriers, quaffing champagne and eating caviar with cycling’s top athletes (except, of course, they weren’t doing so much of the champagne quaffing themselves). And instead of waiting hours to have a semi-obscured peek of the race, I could take up my seat on the finishing line grandstand whenever I wanted. Brilliant!

What’s more, I had a purpose: to write a feature article on the races for Cycle Sport magazine in the UK. This meant I could quite legitimately chinwag with some of my adolescent heroes (Charly Mottet, World’s no.1 in 1989; Steve Bauer, 4th in the 1988 Tour de France), as well as chat to some of today’s top riders. Heck, I went to Starbucks with U.S. champion George Hincapie, caught the lift with two-time Tour of Italy winner Ivan Basso, and gave advice about the Montreal course to top French rider Sylvain Chavanel. Amid all that, I also sat in an armchair once occupied by Winston Churchill (while I was interviewing race organizer Serge Arsenault in his Château Frontenac suite).

The races themselves were a huge success, with crowds aplenty lining the roads. On the tough climb up Mont-Royal, the line of spectators was two or three deep, and crowds only pulled back from the fast-approaching riders at the last minute, just like on an Alpine summit in the Tour de France.

All in all, it was a dream weekend, hobnobbing with childhood heroes and enjoying an all-expenses-paid trip to Quebec. All that remains now is to write the article…

FRENCH

Je suis un grand passionné du vélo depuis les années 80 et la première retransmission du Tour de France en Angleterre. Donc, quand j’ai réussi à avoir l’accréditation presse pour les deux nouvelles courses pro à Québec et Montréal, c’était comme un rêve d'enfant qui se réalise !

Avec un badge média, j’avais un accès complet aux deux courses, à tous les coureurs… et à la bonne bouffe et au champagne à volonté. J’étais parmi ceux de l’autre côté des barrières qui prennent leur croissant et café avec les meilleurs cyclistes du monde. Et, au lieu d’attendre des heures dans la foule pour avoir une petite vue sur la course, je pouvais prendre ma place réservée dans la tribune en face de la ligne d’arrivée quand ça me convenait. Génial !

D’ailleurs, j’avais une mission précise : rédiger un article sur les deux courses pour un magazine de vélo anglais. Du coup, j’avais une raison valable pour papoter avec quelques uns de mes héros d’adolescent (Charly Mottet, l’ancien numéro un mondial ; Steve Bauer, 4ème du Tour de France en 1988), et aussi échanger avec les meilleurs coureurs d’aujourd’hui. Je suis même allé au Starbucks avec le champion américain George Hincapie ; j’ai pris l’ascenseur avec le double vainqueur du Tour d’Italie, Ivan Basso ; et j’ai donné quelques conseils sur le parcours de Montréal à Sylvain Chavanel, double vainqueur d’étape sur le Tour de France cette année. A part tout ça, j’ai aussi eu l’occasion de m’asseoir dans un fauteuil autrefois utilisé par Winston Churchill (pendant que j’interviewais Serge Arsenault, l’organisateur, dans sa suite du Château Frontenac).

Les deux courses étaient une vraie réussite, avec des foules impressionnantes au bord de la route. Sur la montée au Mont-Royal, la foule était tellement profonde qu’on ne voyait les coureurs qu’à la dernière minute. Ca rappelait pas mal les cols du Tour de France.

En résumé, c’était un weekend de rêve, quand j'ai pu faire la connaissance de quelques héros de mon enfance et bien profiter des notes de frais à Québec. Tout ce qui reste à faire maintenant, c’est écrire l’article…

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