Tuesday, April 27, 2010

Aurélie Laflamme

ENGLISH

On Wednesday evening, we found ourselves surrounded by a crowd of screaming teenage girls. No, we’d not gone to see the latest boy band phenomenon (thankfully), but to the avant-première of the Quebecois movie “Le journal d’Aurélie Laflamme”. The movie is an adaptation of the first in a hugely popular series of books about the angst and adolescence of fictional 14-year old Aurélie. Penned by the young and leggy India Desjardins (I know, she was there on Wednesday), the books are a local publishing phenomenon, outselling Harry Potter in Quebec. Given the diary-style and humoristic approach of both book and film, Aurélie could be described as a Quebecois adolescent Bridget Jones. It’s a niche market, I know.

Anyway, despite the screaming pre-pubescent females, the film was actually rather good – when we could understand it. The Quebecois accent and strange language (‘poche’ means ‘not good’, apparently) sometimes led to bewilderment, but the film was highly polished with some great special effects and off-the-wall humour that often appeals to adults as much as adolescents. Admittedly, we were among the few who didn’t spontaneously cheer when Aurélie had her first ‘frenchie’ (kiss).

And in case you’re wondering what we were doing there, a friend of a friend won tickets for the evening and didn’t want to go. We, obviously, went as a ‘cultural experience’…

FRENCH

Mercredi, nous nous sommes retrouvés au beau milieu d'un foule d'adolescentes hystériques. Non, nous n’assistions pas au concert du dernier boy band à la mode (fort heureusement !), mais à l’avant-première du film québécois « Le journal d’Aurélie Laflamme ». Le film est une adaptation du premier livre d'une série très populaire qui raconte l’angoisse existentielle et les douleurs adolescentes d’Aurélie, une fillette de 14 ans. Ecrit par la jeune et attrayante India Desjardins (je le sais, elle était sur place), les livres sont un phénomène local, avec plusieurs tomes enregistrant plus de ventes que Harry Potter au Québec. Le style ‘journal’ des livres et le ton humoristique fait d’Aurélie un peu une Bridget Jones en Québécoise adolescente. Pas dit que ça va gagner des Oscars, hein?

Malgré des hurlements de fillettes pré-pubères, il faut admettre que le film était plutôt bien réussi – une fois qu'on commence à comprendre. L’accent québécois et le vocabulaire un peu « spécial » (« poche » veut dire « pas bon », il semble) nous ont souvent un peu semés, mais le film était vraiment très joli avec des effets spéciaux impressionnants et, surtout un humour excentrique qui était souvent pour plaire autant aux adultes qu’aux adolescentes. Nous n’avons quand même pas applaudi spontanément au moment où Aurélie reçoit son premier « frenchie » (baiser).

Et au cas où vous vous posez la question, nous avons eu les billets grâce à une amie d’une amie qui ne voulait pas y aller. Nous, évidemment, sommes allés pour l’aspect culturel

2 comments:

  1. At first, when I started to read this post, I thought you were out in the streets communing with your fans...
    Sounds like a curious experience.

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  2. Richard : (« poche » veut dire « pas bon », il semble ; Oui cela veut dire effectivement que c'est "pas bon"

    et ont dit French kiss.... ;-)

    André

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